Ce matin, il faisait froid. J’avais installé une sorte de mangeoire pour que les volatiles du coin aient de quoi se sustenter.
Il était tôt, j’étais posté derrière la fenêtre et je guettais leur arrivée à travers la vitre. Les habitués du blog connaissent mon mode d’approche. Les clichés sont de qualité médiocre mais suffisante pour présenter mes oiseaux.
Sur la photo en titre, les plumes de la tête hérissées, le plumage des tectrices gonflé (tectrices=plumes du corps), trahissaient les basses températures.

La fauvette à tête noire est grise et présente une calotte noire qui s’arrête juste au-dessus des yeux. Lorsqu’elle passe sous les yeux et que la gorge est blanche, il s’agit de la fauvette mélanocéphale.






Certains confondent, c’est assez fréquent, la fauvette à tête noire et la mésange charbonnière à cause de la calotte noire. La mésange présente, en outre, un plastron noir et ses joues sont blanches. Le reste du corps est gris et verdâtre, un vert tirant parfois sur le jaune.





Il bien trop méfiant et les boules de graines ne l’intéressent pas.


Un cliché réalisé un jour de début de printemps.
y a du monde dans ton coin 😀
dans votre coin voulais-je dire…. avec toutes mes excuses
🙂
A force de communiquer c’est normal, pas besoin de présenter des excuses Gibu.
Oui, il y a du monde et j’ai limité les images pour rester sur un sujet.
Merci bonne soirée.