L’église de Gualdaricciu nous faisait coucou.

C’est fou, le temps était estival et malgré le manque de pluie, l’eau coulait dans les caniveaux, elle surgissait sous broussailles, semblant venir de nulle part…

Si proche du lieu saint, même le poteau électrique se croit obligé d’imiter la croix.

Sur le chemin, le granit est roi.
Des blocs énormes, bien massés sur les bords de la route, nous applaudissaient au passage.
Ils nous encourageaient car, au retour, la pente est raide sur une longue distance et les haltes furent nombreuses.
Simon ! Simon ! Simon ! J’ai grimpé plus vite sous leurs vivats, je me suis à peine arrêté quelques secondes pour les photographier
Nous avons même remarqué qu’Obélix avait oublié un menhir lors de sa visite à Varadicciu.
Vous n’aurez aucun mal à le repérer sur les images, il est resté tel que le copain d’Astérix l’avait posé.
Sans doute tirait-il la langue en remontant la pente avec sa lourde charge sur le dos.

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