Façon grand restaurant pour allécher de manière tarabiscotée ce qui se conçoit visuellement.
Ou faire de la poésie culinaire avec trois bouts de chou et deux clous de girofle 😉
Voici quelques exemples en version gastronomique sur une carte et en version simonienne.
Soupe à l’œuf de fémur porcin.


J’ai utilisé tout ce qu’il me restait.
Des pommes de terres, des courgettes, des haricots blancs cuisinés, des carottes.
J’ai ajouté du basilic, du céleri, sel et poivre.
Cuisson longue à petit feu.
Vous pouvez y aller à votre guise.
Demi-œufs Parmentier sur lit énigmatique.


Pommes de terre précuites, 4 à 5 minutes à l’autocuiseur.
Avec les tomates qui restent au jardin, j’ai fait une sauce avec herbes, piment et paprika.
Au four 190°C en surveillant la cuisson au jugé.
Cucurbitacée tranchée au Comté chapeluré.


Huile d’olive, chapelure, comté râpé, herbes, sel et poivre et hop au four !
Farce en dentelle brassicacée et son petit pavé de Comté.
( Brassicacée = famille du chou)

Pour la farce, j’utilise de la chair à saucisse grossière avec des steaks hachés.
Farce grossière, gros morceaux chez le boucher, c’est plus goûteux.
Pour une fois, je sursale très légèrement la chair à saucisse.
Beaucoup d’ail, de l’échalote, des herbes et du poivre.

Que voulez-vous, quand on fait mille choses à la fois, on se plante !
Empaffée rougeoyante.

Empaffée ivoire aux yeux de jais.


Tango de légumes de saison en mode slow « fondoyant ».

Amanite panthère à tomber par terre.
(Réalisée par Anna Livia)


La porte de l’infernal Paradis.

Si appétissant !
Quant aux appellations, du grand art !
Bon week-end.
Voilà comment on s’amuse à penser une carte gastronomique…
Sans ces éternelles facéties, je serais complètement éteint.
Bon Week-End, Chat rentré de voyage 😉