et non pas vivre pour manger. » L’Avare de Molière.
Tous les jours c’est la même comédie, il faut se remettre au piano.
Non pas pour créer une symphonie, un boléro ou une rapsodie mais pour se sustenter.
Il faut donc quotidiennement se creuser les méninges pour préparer l’œuvre du jour.
Hier, j’ai pensé aux lasagnes.
C’est du déjà vu, me direz-vous ! Ben non, on ne reproduit jamais la même chanson.
J’avais un peu forcé sur la carotte, c’était donc plus doux que les autres fois. Vous voyez ?

Sel et poivre


Beurre fondu avec même poids – grosso modo – de farine.
On délaie avec du la lait jusqu’à consistance crémeuse légère, non compacte.
J’ai ajouté deux feuilles de laurier déchirées pour mieux libérer le parfum.




Une couche de pâtes, de la farce et du céleri frais pour relancer le goût.
Je réalise trois strates en ajoutant le reste de sauce à chaque fois.



Procédez comme vous le souhaitez, le principe est invariable, les ingrédients c’est l’affaire de chacun.