Tous les ans, à la même période de mi-septembre, la sauge rouge sert d’abri à divers insectes. Cette année-là, je visitais l’endroit, voici quelques images.
Il s’en passe des choses dans la sauge arbustive rouge, la petite faune tire ses derniers jours paisibles, dans le secret de son habitat. Il faut aller visiter les buissons fleuris pour le savoir…
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4 Comments
Une série époustouflante de beauté, que de merveilles à portée des yeux, merci Simonu de nous les révéler avec autant de talent.
Bonjour AL.
Je viens de mesurer, je plaisante à peine, tout cela se déroule à cinq mètres de ma porte.
J’ai une idée d’écriture par rapport à cela, si elle mûrit…
Combien de gens passent à côté et ignorent qu’une vie intense se déroule à quelques centimètres seulement ?
Souvent, il y a un peu de vent, je suis en équilibre précaire, les genoux pliés, la respiration entre apnée et récupération font que le moindre bougé engendre le flou, surtout avec le mouvement perpétuel du sphinx colibri. La mante et le phasme ne bronchent pas. La profondeur de champ (net) est très réduite, il faudrait un pied mais c’est impossible pour plusieurs raisons.
Après, j’essaye d’y mettre un peu d’humour car la nature ainsi photographiée m’inspire l’anthropomorphisme.
C’est toujours bon pour l’humeur, je ne suis pas, dans ces instants, totalement dans la peau d’un scientifique 🙂
Je n’ai pas choisi les meilleurs clichés.
Bonne journée.
Une série époustouflante de beauté, que de merveilles à portée des yeux, merci Simonu de nous les révéler avec autant de talent.
Bonjour AL.
Je viens de mesurer, je plaisante à peine, tout cela se déroule à cinq mètres de ma porte.
J’ai une idée d’écriture par rapport à cela, si elle mûrit…
Combien de gens passent à côté et ignorent qu’une vie intense se déroule à quelques centimètres seulement ?
Souvent, il y a un peu de vent, je suis en équilibre précaire, les genoux pliés, la respiration entre apnée et récupération font que le moindre bougé engendre le flou, surtout avec le mouvement perpétuel du sphinx colibri. La mante et le phasme ne bronchent pas. La profondeur de champ (net) est très réduite, il faudrait un pied mais c’est impossible pour plusieurs raisons.
Après, j’essaye d’y mettre un peu d’humour car la nature ainsi photographiée m’inspire l’anthropomorphisme.
C’est toujours bon pour l’humeur, je ne suis pas, dans ces instants, totalement dans la peau d’un scientifique 🙂
Je n’ai pas choisi les meilleurs clichés.
Bonne journée.
Ces macros sont très belles
🙂