Nous n’allons pas chipoter sur la notion de hasard, ce n’est pas le propos.
La rencontre fut fortuite et mon esprit cabrioleur fit le reste.
Lorsque j’ai vu ce machaon (grand porte-queue) piégé dans une véranda, j’ai dégainé mon appareil photo.
Je savais qu’il était impossible de focaliser correctement, qu’importe, j’étais certain d’en tirer quelques clichés intéressants.
Le lépidoptère, sans doute affolé, cherchait une sortie et dans son vol désordonné s’adonnait à une danse folle, tantôt s’éloignant, tantôt se rapprochant de moi.
La vitre n’avait pas été nettoyée depuis belle lurette et allait donner une allure intéressante à la version « peinture ».
Le vase qui se mirait dans les carreaux complétait l’effet magique.
Evidemment, la libération s’en suivit au bout de quelques minutes…
Voici un aperçu de la scène avec ces images.
1 – Version originale.
2- Version toile.
Féérique!
Et je me doute bien que la libération a été rapide ensuite 😉