Fleurs d’artichaut et de carotte sauvage.

Ce n’est pas très original comme thème, mais ce n’est pas tous les jours que l’on rencontre, à la ville surtout, ce genre de fleurs.

Une petite retouche pour relooker, et pourquoi pas les apprécier sous cet angle ?

Encadrée par ses feuilles sèches.
La nuit la fleur se fait réverbère.
L’inflorescence de carotte sauvage. ( à dominante rose)
Blanche.
Au coeur de l’inflorescence.
La montée en graines.
Dans ce labyrinthe, la punaise arlequin et la fourmi jouent à cache-cache.

Le petit plus du jour qui n’a rien à voir avec artichaut ni carotte…

Une œdémère brume « affleurit » trop brusquement sur une ombelle de férule…
ET c’est la catastrophe, explosion nucléaire !

4 Comments

  1. « Au cœur de l’inflorescence. » : C’est de la spéléologie dans l’intimité des fleurs, quelle indiscrétion ! 😉
    (C’est quand même chouette la macro !)

    1. Pour le cœur ce fut un recadrage plus serré de l’image précédente.
      J’utilise souvent un objectif macro lorsque je pars avec une intention précise, sinon j’ai toujours un petit compact de poche (6X9 cm) qui ne me quitte jamais et c’est avec lui que je réalise le plus grand nombre d’images. C’est pratique et peu encombrant mais il ne faut jamais l’oublier à la maison… 🙂

      1. J’utilise mon téléphone très léger, mais le malheur c’est qu’il fait aussi des images très légères… parfois un miracle en surgit, mais je ne sais jamais quand !

  2. Les modernes font d’excellentes photos sans efforts particuliers… Je ne possède pas de tel, ainsi j’ai l’impression de ne faire que de la photo, il n’est dans la poche que pour ça et cela change l’état d’esprit.

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