Le rêve est dans le champ.
Au printemps, dès le petit matin, je m’évade dans la nature.
Je sais que je découvrirai quelque chose de nouveau.
On croit que les fleurs sont toujours les mêmes, on pense avoir fait le tour des coroles depuis le temps qu’on entasse des milliers de clichés.
Chaque année, je m’émerveille devant un coquelicot que j’ai croisé tant de fois et pourtant, il est nouveau, différent de celui rencontré la veille, même si rien ne ressemble plus à un coquelicot qu’un autre coquelicot.
D’abord, d’abord… j’ai vu le fouillis.
Le rêve est survenu, j’ai vu un peintre, un aquarelliste peut-être…
Un peu plus loin… A quoi joue cette abeille trapéziste ?
Le lendemain, après la pluie.
Un peu plus loin…
Vous êtes un poète doublé d’un excellent photographe, la première photo est somptueuse. J’ai aimé entre autres le clin à la chanson chantée par Gréco Jolie môme 🙂
Merci 🙂
Très drôle l’idée du visage ! je me suis autant régalée à regarder ces clichés, que l’araignée à déguster son dessert sucré !
🙂 Merci.