J’étais sur la route toute l’après-midi.
Ce n’est pas une bonne idée, on risque d’être fauché par une auto à tout moment.
Certaines déboulent en trombe à la sortie d’un virage.
Je rasais les bordures, à quelques centimètres seulement de l’asphalte. Je scrutais les bois, les sous-bois. Je n’avais jamais remarqué que l’on pouvait, en seulement 150 mètres, passer d’une châtaigneraie à une chênaie, puis une pinède avant de retrouver les broussailles.
C’est très surprenant qu’une telle végétation se succède en si peu de distance.
Voici quelques paysages que l’on ne songe jamais à photographier de manière suivie et soutenue comme ici.
merci pour ce beau voyage
Bonne soirée Gys, merci ! 🙂