Le boudin Josette n’existe pas, c’est une invention vous comprendrez pourquoi en lisant cet article.
Pour une fois, le sujet principal ne sera pas en images.
On m’avait proposé du boudin aux raisins, je n’ai pas photographié la recette car je ne trouvais pas l’idée originale.
J’ai réchauffé à la poêle avec un grand verre d’eau, à petit feu et à couvert, sans ajouter de gras.
Une sorte de réchauffe entre vapeur et eau bouillante en veillant à ne pas faire éclater le boudin.
Dans une autre poêle j’ai fait sauter des pommes en tranches épaisses, du raisin frais épépiné et débarrassé de sa peau, avec du beurre.
C’est en goûtant que j’ai eu l’idée du boudin Josette. En fait ce serait plutôt du boudin Suzette mais j’ai voulu différencier des crêpes donc, je suis allé chercher Josette, j’aurais pu, tout aussi bien, appeler Suzon.
J’ai imaginé une recette que je vais bientôt tester.
Rien ne change pour réchauffer le boudin.
Je vais faire sauter les pommes tranchées, au beurre, puis ajouter du Grand Marnier, les flamber et les retirer. Déglacer avec un jus d’orange frais, incorporer un autre morceau de beurre pour lier le tout. Voilà pour le nouvel accompagnement. On éventre le boudin et on associe le fruit cuit en arrosant de sauce Suzette qui devient Josette avec le boudin..
Pourquoi pas, ça change, rien n’empêche de garder un petit boudin à part que l’on déguste comme d’habitude.
Puisque il n’y a pas d’image de cette recette un peu fofolle, en voici d’autres pour vous donner des idées.
Voilà quelques idées qui peuvent en générer d’autres.
Ce soir, curieusement, j’ai cuisiné chinois.
Enfin chinois, je veux dire chinois d’Aratasca, à ma façon quoi !
Je suis en roue libre en totale liberté, je pratique la cuisine sauvage, la cuisine intuitive.
Quoi ? Combien j’ai pris de kilos ? Qui a dit ça ?
Eh bien, très peu de choses, peut-être quelques grammes, les porteurs de cercueil en auront pour leur argent…
Si je perds mes petites rondeurs, je risque de perdre mon humour et à ça, j’y tiens beaucoup !
Le petit plus du jour :
