Encore une fois et après, je n’y reviens plus !
C’est vraiment le meilleur moment de l’année pour réaliser cet assortiment très convivial.
Les tomates sont, en principe, au top, les brugnons à maturité parfaite et peuvent se séparer en deux hémisphères par simple torsion.
Voici donc comment procéder :
Ça peut constituer un plat complet pour des petits mangeurs, c’est frais et certains disaient, hier, « c’est une tuerie ». Bon, je n’ai tué personne, bien au contraire.
Vous pouvez doubler la mise si vous ne proposez que ce plat.
J’avais préparé une épaule d’agneau désossée confite sur un molleton très confortable d’aubergines pelées, d’ail en chemise, le tout préparé la veille avec des épices tandoori, dans une cocotte en fonte avec son couvercle. A 170° en 90 mn, en retournant la viande à mi-cuisson. Viande que j’avais saisie dans un peu d’huile d’olive avant de passer au four.
Pourquoi la veille ? Parce que c’est meilleur réchauffé et que les parts sont plus faciles à réaliser à froid avant de réchauffer.
Très apprécié par les invités pour qui c’était une découverte !
J’ai tellement bavardé que j’ai oublié de prendre des photos…
Vous pouvez remplacer les brugnons par des pêches blanches ou jaunes, pourvu que le noyau se détache par simple torsion. Chez nous on dit « preschi scupulaghjoli ».
Je préfère nettement les brugnons blancs.
Ce plat doit être réalisé à l’avance pour séjourner un peu au frigo, il doit être servi frais.
Voilà, c’est la dernière fois que je vous invite à réaliser ce plat.
Vous me croyez ?
Non !
Vous avez raison ! 😉