U Paradiseddu = Le Petit Paradis.
Le temps était à la grisaille, j’avais l’impression que le Petit Paradis était triste.
Il déversait son eau, inlassablement, l’endroit était désert, dans un décor minimaliste comme si l’Eden s’était vidé de ses âmes.
C’est au printemps qu’il reprend ses couleurs d’endroit béni des dieux dont les anciens du quartier vantent toujours les jours heureux, lorsque l’eau n’arrivait pas encore dans les chaumières…
Voici quelques images.

À Funtanedda, et sans doute ici aussi selon la personne qui change le bec, nous maintenions la feuille en place avec un bout de bois bloqué sur les bords de la gargouille.






Très belles images, si symboliques et dont on a perdu le sens de nos jours. L’eau coule du robinet et tout le monde trouve cela normal…
Superbes. J’aime ces coins un peu perdu, un peu fouilli
Bon dimanche 🙂
Bon dimanche Gys 🙂