Passer quelques minutes sans se prendre la tête, il suffit de ne pas chercher à comprendre.
Ne jamais contrarier celui qui pond des œufs vous lui feriez une omelette.
Penser par soi-même, c’est écouter les autres sans les entendre.
Avec ces trois pensées vous être prêts pour lire la suite 😉
Les jeux de mots se font des idées :
Les non-dits ne tonnent jamais mais pèsent parfois des tonnes.
La beauté est l’impact d’une émotion qui explose sur une image.
A trop vouloir être indépendant, on se retrouve seul.
Qui a intégré la notion de temps ne se préoccupe plus du sens de la vie et se passe l’idée de Dieu.
Toute la différence entre « croire et savoir », « persuader et convaincre » se résume dans l’assertion suivante : On sait qu’on va mourir mais on ne le croit pas.
Le hasard est une hésitation, parfois une confusion, entre inexpliqué et inexplicable.
Après l’orage, le désespoir.
La politique n’est que l’expression de poly-tics sur la vie et lorsque l’un tourne sa veste, on dit qu’il fait tac-tic au lieu de tic-tac !
Lorsque la politique se fait tique, le pays est exsangue.
Il est des mots qui parlent tout seuls, lorsque l’un dit tumeur, l’autre entend tu meurs.
Je n’ai jamais connu d’aussi con qu’un homme politique en campagne. En temps ordinaire, il vous ignore, en période électorale, il vous connait depuis toujours et vous collerait volontiers la bise de Judas.
Mettre un pied en politique c’est comme marcher sur un caca qui traîne, un temps ça porte bonheur et ça finit souvent par sentir mauvais.
L’agnostique vit plus en compagnie de Dieu qu’un croyant. Son doute permanent le tient à l’affût d’un indice.
Si Dieu est grand et donc responsable, l’homme est petit et ignorant, il ne fait que subir le mystère imposé.
Si l’on admet la symbiose « Dieu pour nous et nous pour Dieu » la preuve est faite de sa « non existence » sans l’homme.
On ne change pas une société qui va mal à coups de décrets, elle changera d’elle-même lorsqu’elle parviendra au bout de ses effets pervers.
Toute idée novatrice est fatalement porteuse d’effets pervers.
Se requincler, c’est se requinquer dans la joie, le tintement des clochettes au bout du mot exprime ce bonheur.
Entre sourcier et sorcier la limite est ténue, à la merci d’une dent qui tombe.
Le banal n’a pas de sens, le quidam donne un sens à ce qu’il lui arrive, ainsi nait parfois la superstition.
Tout et son contraire se produit mais ne prend sens que lorsqu’il nous tombe sur les gencives.
Je n’ai pu tenir ma promesse peut se traduire, bien souvent, par je ne t’ai pas donné la priorité.
Le passé est l’acquis actuel qui préfigure du futur.
Se morfondre sur son passé c’est se pourrir le présent et commencer à polluer son futur.
Un passé joyeux enchante le présent en espérant un futur chantant.

J’en ai pondu beaucoup d’autres, le coucou les a défenestrés.
Il y en a de très bonnes, d’autres qu’on pourrait discuter pendant des heures mais ce n’est pas le but, n’empêche aucune à défenestrer, le coucou a un sacré culot!
C’est le propre des aphorismes, on peut souvent dire exactement le contraire.
Sur Fb, j’ai pris soin d’ajouter « C’est comme les papillotes prenez celle qui vous plait » sans ajouter, tout de même, et ne dégoutez pas les autres de celles qui restent.
Un de ces quatre matins, je vais exploser en vol, vous allez entendre le Bang jusqu’à Ajaccio 😉
Les coucous sont des coucous, il défenestrent pour prendre toute la place.
Bonne soirée Al et merci pour tout.
Un bang comme dans le sketch de Pido? 😉
Connais pas le sketch.
Je souris, car ce genre de petites phrases me viennent aussi. En général quand je me mets au lit, le temps de réchauffer les draps et alors hop ! je rallume la lampe, prends mon petit calepin et l’écris -à la limite de l’illisible vu que je roupille déjà à moitié-. Ces petites phrases (aphorismes serait un mot trop intelligent pour ma bouillotte) me servent très souvent de départ pour écrire mes âneries. D’ailleurs, au pied des Pyrénées, on ne dit pas charentaises ni pantoufles, mais mules. On ne sait jamais, si un pape passait du côté de Lourdes…
Hé ! Hé ! La bouillotte est de bonne qualité apparemment !
Vous avez raison, amusez-vous, c’est ce que je fais, peut-être à l’excès mais que voulez-vous, on s’amuse comme on peut. 😉
Bonne suite.
Tout ça !!! 😀
L’oisiveté Gibu ! L’oisiveté !
Demain, je commence le jardin, ça va me calmer un peu 😉
Pas sûr, car plus je travaille et plus je cogite, peu de chances de m’en sortir.
c’est cornélien 😀