Ou l’insaisissable vanesse.
Cette fois-ci, impossible pour moi, de cueillir le vol d’un papillon.
En grande bougeotte, il sortait souvent du cadre mais hasard fit bien les choses.
A travers la vitre poussiéreuse, entre reflets d’objets intérieurs et paysage flouté, il me semblait tenir de vagues tableaux… alors j’ai insisté.
Voici ce que j’ai récolté.








Très réussi, les reflets sont toujours intéressants à exploiter 🙂
Je glande, alors rien ne m’échappe…
Je dois avouer qu’il m’a tourné en bourrique, je me demandais ce que je faisais là en cherchant à le cadrer…
Bon, ça passe…
Bonne suite Al 🙂