Aujourd’hui c’était la mer à la montagne.
Un plat facile à réaliser qui demande peu de préparation et peu de temps de cuisson.
Deux beaux sars étaient venus jusqu’à nous en tenue métallisée.
L’œil encore vif et l’écaille brillante.
Je crois que le secret est dans l’art de saler à point.
Ah ! J’allais oublier. Vous vous souvenez des poivrons cuits au four pour une salade ? Surtout ne jetez jamais le jus qui en sortira lors de l’épluchage. Je le verse dans la vinaigrette, ça donne le goût poivron, si j’ose « lapalisser » un peu.
Un autre usage, mixez les poivrons et faites la vinaigrette avec cette purée. Je vous conseille de tout mixer ensemble, huile, poivron, sel, poivre, vinaigre ou cornichons. La sauce froide sera prête à l’emploi. Vous pouvez y mettre aussi, une sardine, deux anchois ou des olives noires dénoyautées, cela accompagne poisson poché et salades diverses…
C’est en communiant avec les produits que l’on parvient à trouver le sens de la cuisine et de la vie, non en fouillant dans les recettes des autres…
Bon, d’accord, de temps en temps si vous voulez… mais lâchez-vous et vous serez surpris !
Un petit mot pour les photos, surtout pour celle dans le titre un peu tristounette. J’ai un petit appareil de poche, je ne suis pas dans un studio mais dans une cuisine à l’éclairage sommaire et les clichés suivent à la va vite sans séance particulière pour faire plus joli…
Je vous souhaite une bonne fin d’après-midi.
Nous vos sauts et gambades n’ennuient pas, bien au contraire ils font d’une recette qui à l’air fameuse un grand moment de vie joyeuse. Et si en plus Brassens est invité, alors là, c’est la fête!
Bon je vais voir s’il y a quelque chose dans le frigo maintenant, vous m’avez ouvert l’appétit.
🙂 Bon appétit !
Mon fricot est bien fade à côté du votre 😉
Je corrige sur mon autre commentaire, je voulais écrire: non et pas nous.
Bonne soirée Simonu
J’avais rectifié… Ce sont les choses la vie, les grains de beauté sur une écriture 😉
Ne serions-nous pas chez un chef incognito ? certes c’est simple en apparence, mais il y a « la patte » !
Voici le lien de l’histoire :
https://simonu.home.blog/2019/05/18/dans-lombre-il-y-a-la-lumiere-2/
Je cuisine depuis l’âge de huit ans lorsque j’ai commencé à vivre chez ma tante sacristine pour lui tenir compagnie.
La cuisine n’était pas son fort, alors je me nourrissais de boîtages pour échapper à l’éternelle soupe à l’oignon.
Je regardais cuisiner ma grand-mère, véritable cordon bleu, pour me faire à manger…
Je raconte dans un texte noyé, ici, dans la forêt de mes histoires, cette anecdote et j’avais résumé, joliment, je pense :
« Le midi je déjeunais chez Bocuse et le soir je dinais chez Cassegrain. » 😉 Voilà l’explication.
Bonne suite 🙂