Dans la canopée.

Mais que donc faisait coccinelle si haut perchée ?

Si près du ciel au sommet d’un plant de persil qui termine sa deuxième année et dont l’inflorescence se prépare en secret ?
Sans doute, se rapprochait-elle des cieux puisqu’on la dit « bête à bon dieu ».

Mais en regardant de plus près, je la soupçonne de se poster en haut de la Tour Eiffel, attablée dans un restaurant culminant.
C’est là, sur les pousses juvéniles que s’étaient attroupés quelques pucerons d’un bien tendre vert, occupés à sucer la sève montante de l’ombellifère.

Une Coccinellidae était très occupée et bien à son affaire, libérer l’auguste Petroselinum Crispum d’une invasion imminente et massive d’Aphidoidea.

Une trilogie commune : Une coccinelle sur le persil se gave de pucerons.

La bête à bon dieu est l’amie du jardinier…

Prospection.
Ah, voilà ! C’est par là !

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