Décidément, il en sort de tous les côtés. Une ancienne maîtresse de DSK ou qui se déclare comme telle, souhaite s’exprimer, car les journalistes détiennent une lettre qu’elle avait écrite à son père à ce sujet.
Marie-Victorine pense que son témoignage serait plus favorable que défavorable à DSK. Tant mieux pour lui. Et voici ses arguments.
C’était en 1997 déjà : « Il ne m’a jamais forcée à faire des choses que je ne voulais pas faire ». Elle le décrit comme quelqu’un de « physique… aimant le sexe… séducteur » Mais aussi : « Je ne peux pas nier que j’ai aimé cet homme même s’il m’a énormément blessée… »
Elle révèle qu’elle a répondu sèchement aux questions « très personnelles, brutales, chirurgicales, un peu comme un interrogatoire de police » venant de l’avocat de Mme Diallo. Qu’est-ce qui l’obligeait à écouter et répondre à ses questions ? Bizarre !
Que peut retenir le commun des mortels à la suite de ces déclarations ?
D’abord que cela confirme que l’homme est vraiment un homme à femmes et cela, après tout, ne regarde que lui tant que femme ne s’en plaint pas. Ça se savait mais la tendance s’affirme.
Dire qu’il ne l’a pas maltraitée est assurément une bonne chose pour elle puisqu’elle n’a eu que le plaisir, mais cela a-t-il un quelconque rapport avec l’affaire en cours ?
Notre ami, Seigneur de la Palice aurait dit qu’un quart d’heure avant le vol, le voleur n’était pas encore un voleur et que tout fauteur n’en était pas un, quelques minutes avant de fauter. Où est la preuve qui avantagerait DSK ?
Prenez-en de la graine messieurs les avocats, si vous connaissez quelques bons agissements de votre client qui datent de 14 ans n’hésitez pas à les exploiter… ça passera comme une lettre à la poste.
Faudra-t-il ignorer cette affaire pour retrouver un peu de bon sens à la périphérie… Je le pense très fort.
Et dire que cette personne est consultante internationale… mais en quoi ? Si l’on suit son raisonnement, il suffit de la consulter pour le savoir. Moi, ça ne me regarde pas.