L’essaim de l’arène.

Comme l’indique l’image en titre c’était ici et nulle part ailleurs.
Juste à une dizaine de mètres à gauche.

D’abord, j’ai eu un doute, puis, au quart de tour, mon esprit a détourné le sens pour cacher ce sein qu’on ne saurait voir, même si le titre flottant sur l’auvent eut-été mille fois plus accrocheur.

Voilà comment on attire l’attention des passants afin qu’ils s’arrêtent un instant et cogitent, avant d’aller se restaurer sous le corsage.

Ça doit marcher, je n’ai pu le vérifier, c’était fermé.

Se balader à travers rues et ruelles c’est toujours une bonne idée.
Moi, je ne m’ennuie jamais, l’œil toujours en alerte.
Je fais des découvertes à chaque fois.
Même devant un cadre banal, il suffit de mettre l’imagination en alerte pour refaire un monde et la mienne est rodée, inutile de la forcer, elle voyage… voyage…

Un peu plus loin, j’étais admiratif devant portail clos.

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