J’ai voulu passer encore une fois voir ma Maritza.
L’envie de voyager, de marcher pour entretenir mes vieux os m’a conduit à ce retour, car ce parcours est cool. Et puis chemin faisant j’ai franchi les bornes, de deux kilomètres annoncés, je suis passé à sept.
Pourquoi repasser par là ? Sans doute l’appel de la cocotte qui, de minute, est devenue trainarde.
Elle n’a pas beaucoup avancé depuis la dernière fois.
Elle s’est juste retournée comme une tortue sur ses pattes alors qu’elle était sur sa carapace mais dans son cas c’est moins pratique pour flotter. La voilà condamnée à faire du surplace.
Le brillant est resté nickel, on l’imagine à peine sortie d’usine et puis s’est égarée.
C’est très bizarre de la voir en ce lieu. A-t-elle fui le feu en préférant la dérive dans l’onde ?
Allez donc savoir, dans ce monde devenu abracadabrantesque même les casseroles ont des idées saugrenues et me voilà contaminé !
Voici les images pour la deuxième fois mais depuis l’autre rive, je vous promets que ce sera la dernière fois pour cet endroit…