Lorsque le temps se fait maussade ou frisquet à rester au coin du feu, je joue.
Je m’amuse à trafiquer mes images.
Trafiquer, ne me plait pas trop, je dirais plutôt les transformer pour aller visiter l’autre face des choses, je pensais volontiers à METAMORPHOSES.
Certes, cela ne plait pas à ceux qui préfèrent les originaux mais là n’est pas la question, c’est une autre affaire qui me transporte ailleurs.
J’ai l’impression d’animer mes photos qui s’agitent sous mes yeux pour me proposer un autre spectacle.
C’était un mois de novembre, j’observais les feuilles de mon poirier.
Je tournais autour de l’arbre pour trouver une originalité.
Voici deux photos initiales qui ont servi de point de départ à mes divagations.
Quelques déformations plus tard :
Image en titre : Le saut périlleux de la mante religieuse.