Osons la simonerie…

Aujourd’hui, juste une heure avant midi, j’ai eu envie de chinoiserie.
Comme j’ignorais s’il s’agissait de plat japonais, chinois, vietnamien ou de tout autre endroit d’Asie, j’étais en aratasquie, donc je me suis lancé au feeling.
Toujours sans recette précise, c’est dans cet art sauvage, à la va vite et sans souci esthétique, que je donne le meilleur de moi-même !

Réalisation en moins d’une demi-heure.
Voici donc :

J’avais trouvé des petits oignons rouges dans le jardin, des survivants de la canicule, restés lilliputiens.
Je les ai fait « souffrir » autrement dit rissoler dans un peu d’huile neutre.
J’ai ajouté les lamelles d’une carotte, prélevées à l’économe…
On peut les faire sauter à feu vif pour les garder craquantes…
J’ai préféré faire cuire avec de la sauce d’huître et de soja.
Du blanc de poulet de la veille…
Du lait de coco…
On laisse réduire un peu…
Des vermicelles de haricots (germes de haricot mungo) qui ont cuit cinq minutes dans de l’eau bouillante hors du feu et à couvert…
C’est plus joli ainsi…
Voilà, voilà… A tableuuu !

7 Comments

    1. Chez moi ou chez vous Gibu ?
      Chez moi, on mange pour vivre et surtout pour vivre bien, à l’épicurienne et advienne que pourra.
      Je suis sur le bénéfice de vie, le capital bien entamé, j’en fais mon affaire, je ne vais rien oublier, rien négliger pour finir comme je l’ai souhaité c’est à dire à l’aveuglette et à l’envie… 🙂
      Bonne journée Gibu !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *