Les autres mondes de l’extravagance.

Les autres mondes de l’univers ou le monde d’après, sur notre planète.

Toujours avec le même principe de revisiter mes photos ordinaires, je suis allé voir l’ailleurs dans le lointain, aux confins des galaxies. Un ailleurs tout proche, dans l’œil d’un chasseur d’images.
On parle tant de l’après vie, l’agnostique que je suis préfère s’inventer des mondes, les visiter tant que vagabondages lui sont encore permis…
Je m’en vais rencontrer d’improbables créatures au gré de mes fantastiques pérégrinations galactiques.
Je voyage la nuit, c’est plus fécond et plus magique.
Je regarde les étoiles, les nuages courir après la lune et laisse vagabonder mon imaginaire.
J’ai l’impression d’être le premier explorateur de ces mondes perdus au firmament, un pionnier qui revient sur terre, la tête et l’esprit remplis d’étoiles.
La magie s’invite en moi, je deviens horloger pour organiser le temps à ma guise.
Je fais semblant de croire qu’un jour, un jour funeste, je m’en irai visiter l’univers…
Je fais semblant de croire que mourir c’est s’en aller conquérir l’ailleurs, je suis le vagabond des rêves.
L’ici et maintenant devient  » l’ici et là-bas concomitants « .

L’accueil à bras ouverts au paradis. (Une rose)
Le plutonien dans un environnement froid. (Une poule)
Le monstre du Roc Ness sur la planète Macallan.
L’entrée du paradis des gélines.
Voici la photo originale.
Procréation sur la planète In Vivo. (Fécondation d’un l’ovule imaginée à partir d’un bouton de rose)
Chapelles troglodytes du Purgatoire.
Vendanges mandarines quelque part sur In Vino Veritas. (Rafles de raisin)
La poule vivipare au regard félin.
N’engouletemps pense le temps et ne pipe mot.
Voici l’image de départ.
L’avaleur de brouillard, un autre Sisyphe dans la brume.

Le petit plus :

Il faut tempérer, mesurer, aseptiser, éviter les plaisanteries… Etouffer la spontanéité.

L’humour serait-il en voie de disparition ?

Résiste ! Je résiste.

2 Comments

  1. Ma préférence va aux vendanges mandarines mais toutes sont imaginatives et belles 🙂

    1. Comme c’est curieux !
      Je faisais la sieste et je me suis réveillé sur l’image des mandarins.
      Je viens à l’instant, allez savoir… à force de voyager par monts et par vaux d’ici et d’ailleurs, on fait des rencontres bizarres et très surprenantes 😉

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