Le ciel est l’avenir de l’homme.

Folles pensées.

La terre est en ébullition, d’inquiétantes explosions se font de plus en plus fréquentes.

Les énergies, l’écologie, la criminologie, la démagogie, la déontologie décadente… sont devenues les algies d’un monde en détresse.
L’humanité est percluse de douleurs insupportables, l’homme se sent prisonnier de l’homme et reluque vers le ciel, cherchant un salut.

Faudra-t-il explorer l’univers, connaitre mieux les galaxies pour trouver un espace nouveau, un refuge dans l’ailleurs pour éviter l’implosion finale de la planète bleue ?

Le ciel est peut-être l’avenir de l’homme, cet être incorrigible qui transporte ses travers là où il semble découvrir un autre Eldorado. Un être destructeur, autodestructeur, condamné à disparaitre.

Ainsi, perdu dans ses illusions, la thermosphère encombrée de débris d’engins spatiaux, l’humain lorgne vers des cieux plus lointains, au-delà de son imaginaire et rêve d’un divin.
C’est son dernier espoir comme un dernier recours, il n’en finit plus de s’égarer dans l’abîme et les limites de sa pensée. Il court après le rêve d’un Dieu perpétuellement insaisissable, un Dieu qui semble le fuir aussi.

Le ciel est-il l’à venir de l’homme ?
Ce Sisyphe condamné à chercher sa raison, inlassablement, s’épuise dans son immense ignorance savante…