Bon, on y va ?

En ce moment, je m’entraine pour l’été.
Le jardin est en bonne voie, ce sera meilleur lorsque que la production sera de son cru.

Des gros dés d’aubergines à l’huile d’olive, passés au four.
On peut le faire à la poêle, il suffira de laisser égoutter dans une passoire toute la nuit.
Rissoler des oignons.
Ajouter une sauce tomate et laisser réduire.
Tout mélanger, ajouter des olives noires, du basilic et laisser toute une nuit au frigo.
Servir froid en entrée.

Une Piresaladière.
Pourquoi pire ? Parce que certains puristes ne supportent pas les variantes.
Alors, j’ai varié en fonction de ce qui se présente à moi.

Une abondante compotée d’oignons, des tranches fines de tomates, des olives, des anchois, de l’huile d’olive et de la sauge.
Une pâte feuilletée, une trentaines de minutes au four entre 180 et 200°C
Voilà, voilà !
Sel et poivre bien sûr !

Ce midi.

Tranches d’aubergines huilées passées au four, une vingtaine de minutes pour les assouplir.
J’ai roulé sommairement des morceaux de tranches de jambon dans les aubergines, de la nepeta sauvage, du comté râpé, le tout sur un lit de sauce tomate.
Voici la nepeta, il y en a partout, partout…
Une première cuisson avec la sauce tomate…
Petit gratiné rapide.
Tout ça entre un texte, un passage au jardin et un coup de débroussaillement.
Voilà ! Voilà ! Voilà la vie !

Inutile de faire du cinéma, à la campagne on a juste le temps de manger pour vivre et non vivre pour manger… Dixit « U povaru Zi Molière ! ».

4 Comments

    1. Je me souviens de la première fois que vous veniez me « voir » après une recommandation de Dominique, vous lui répondiez que vous viendriez volontiers avec une fourchette ! 😉
      Un jour peut-être 🙂
      Bonne fin de semaine Al !

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