C’était presque au poil.

poilDes professionnels du livre du Nord/Pas-de Calais étaient de très mauvais poil contre JF Copé. Ils lui sont tombés sur le poil, l’ont caressé à rebrousse-poil, décidés à le vaincre poil par poil.

Ils n’ont pas de poil dans la main mais même décidés à reprendre du poil de la bête pour déclarer : « Tous à poil contre la censure !», ils ne sont pas allés jusqu’à séquestrer Jean François pour le mettre à poil à son tour et le frotter de poil à gratter.

Devant une bibliothèque qui servait de décor avec ses étagères nues comme des vers, sans le moindre poil de livre, ils n’étaient plus à un poil près : l’un d’entre eux n’avait pas un poil sur le caillou.

Au final, pas de quoi faire dresser les poils sur les bras, d’émotion ou d’envie, sans la moindre vision d’un poil coquin.

Les livres censés mettre tout le monde à poil masquaient bien toutes les parties intimes que les défenseurs du nu intégral ne sauraient montrer sous peine de censure d’image… Ce presque « à poil » parfait nous met tout juste de bon poil.

A quand la prochaine poilade ?

 

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