Pour atteindre la plage depuis Nonza, la descente est en à-pic, impressionnante.
On peut faire un long détour aussi pour atteindre la suivante.
Côté montagne.
Le petit plus.
La plage en contrebas.
Par monts et par vaux, ici et maintenant mais naguère souvent aussi.
Belles images de cette plage au sable noir. J’aime beaucoup aussi la dernière, en contre-jour.
Vous avez du courage et du souffle d’être monté dans la tour, jeune homme 😉
J’avoue que je commence à avoir le vertige mais en cultivant l’intellect, on arrive à dominer les sens, dans une certaine mesure.
Montaigne, je crois, disait que nos sens nous trompent, marcher sur une planche par terre se fait sans grande difficulté mais sur la même planche placée entre deux tours, c’est une autre affaire…
Ce jour-là, un vent soufflait en continu, plus fort en hauteur, amplifiant l’effet de vide et de fragilité face aux grands espaces en contrebas.
J’aime les sensations fortes en luttant contre l’appel du vide. 😉
Je retrouve les frissons fondateurs, de mes 17 ans, décrits dans « Balade en novembre après minuit ».
Très belles photos