Quand le banal sourit.

Le figuier produit désormais du raisin…
après l’entente cordiale.
Promesse de châtaignes.
C’est en voyant cette bogue entr’ouverte qui se prépare à lâcher la châtaigne que m’est venue l’anecdote qui suit :
Dans un village voisin, au milieu du siècle dernier, un jardinier s’apprêtait à rentrer ses pommes de terre. Il avait demandé à sa fille de 10 ans de tenir un sac de jute bien ouvert pour lui permettre de verser ses tubercules. La fillette, un peu lasse d’attendre, s’est mise à rêver et le sac se refermait progressivement. Agacé, le père la secoua et lui lança : « Ouvre la bouche Alexandrine ! »
La fille s’exécuta et l’ouvrit largement, « Ah! »
La bouche du sac, imbécile !
Je vous l’avais promis, c’est le banal qui sourit 😉
Bavella en « peinture », Bavella en nature.
Quand on broute, on broute.
Et quand on broute, on broute…
on ignore le passant qui passe.
Pins.
Une fin de pin.
« Donne moi le soleil, je te donnerai l’heure »
Din-Din ! Tin-Tin ! pas Dong Dong ! ni Ding-Dong !
Igloo au soleil.
Je suis revenu par ici.

7 Comments

  1. Bonjour mon cher ami! Bien sûr, le rire qui m’a causé de ce côté d’ici était inévitable. Tout à l’heure, j’ai vu et répondu à votre commentaire de blog… il est tombé dans la boîte de spam. Merci d’exister! Que vos jours soient bénis et heureux, un câlin fort!

    1. Bonjour l’ami brésilien,
      A force de faire le fou, les sites me prennent pour un indésirable et me « spament ».
      Je plaisante, bien évidemment, merci pour ce retour, je vous souhaite une bonne journée
      Toutes mes amitiés 🙂

  2. Les petites choses insignifiantes de tous les jours font des clins d’oeil malicieux à qui sait les voir. Petits bonheur du quotidiens qui rendent la vie si belle 🙂

    1. J’ai l’œil promeneur, toujours alerte et gai lorsqu’on part en balade.
      Oui, Al, la vie est belle ! 😉

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