Depuis ce matin 9 h, je surveille.
Ce n’est pas moi qui vais choper le bourdon, j’adore me rouler dans la farine.
Jamais de bourdon, toujours content.
Ce n’est pas le même meunier mais la même farine.
Finalement l’araignée Napoléon n’a rien chopé.
Elle est toujours au même endroit à 15 h.
Quelle patience !
Dans les althéas.
Tant mieux ! Parce que l’avoir vu comme ça, si plein de joie de vivre pour qu’il se fasse bouffer après, j’aurais pas aimé !
La journée n’est pas finie, je surveille de temps en temps, on verra bien si j’arrive au bon moment 🙂