U pidochju scemu, en corse ( le pou fou).
Puisque demain sera jour de folie douce, profitons-en dès aujourd’hui.
Il y a quelques années, je déposais un petit texte sur Facebook un 31 mars. Pourquoi cette date ? Peut-être voulais-je éviter les méfiances du premier avril.
Sans doute un truc comme ça.
Le réseau social me le ressortait ce matin sous forme de souvenir, aussitôt, j’ai pensé à le partager avec vous, c’est toujours agréable de passer deux minutes folles dans une journée qui en comportera de nombreuses, moins réjouissantes.
Voici l’info que je véhiculais :
Décidément la vie n’a pas fini de nous étonner.
Avez-vous entendu parler du « pou castor » qui s’attaque à la base du cheveu en le tronçonnant carrément ?
Voici la traduction d’un extrait de la revue anglaise « Science and revelations ».
« Les cas de calvitie temporaire ont trouvé une explication. Le responsable serait un pou mutant victime du parabène contenu dans les shampoings. En lieu et place du suçoir, ces poux à l’ADN modifié ont une sorte « d’appareil buccal grignoteur » qui leur permet de sectionner le cheveu à la base. Ainsi privé de support à sa ponte, le parasite est condamné à l’extinction de l’espèce, par « pougicide » programmé, autodestructeur en se privant de descendance.
C’est également une bonne nouvelle puisque aucun traitement n’est nécessaire pour éradiquer les mutants.
Faut-il revenir sur l’interdiction des parabènes dans les shampoings responsables de la mutation du pou commun ?
La question est à l’étude afin d’évaluer bénéfices et inconvénients… L’auto-éradication par le pou pougicide semble intéressante.
Reste à savoir si, à la longue, les parabènes ne vont pas favoriser aussi le tic de l’homme à taloches qui se frappe frénétiquement le crâne chaque fois qu’il sent que des intrus marchent sur sa tête…»
Sacré dilemme pour moi aussi, pendant un bon moment, je me suis demandé si j’étais l’auteur de la fake-news ou si je l’avais vraiment piquée quelque part.
Vous avez une idée, vous ?
Un de ces jours, je vous raconterai la vraie histoire du pou, c’était dans les années cinquante, il faut que je retrouve le texte qui figure quelque part dans ce blog.
Faudrait proposer cela au Lancet…il en a publié de pire 😉
Je reste chez moi même si c’est plus confidentiel 🙂