Je pense que les chinois ne m’en voudront pas de titrer ainsi.
Allez savoir par les temps qui courent ! Mieux vaut faire le tour de ses neurones cinquante-six fois avant de prononcer le moindre sourire candide.
Voyez, passer de « l’ode à la lumière » à René puis aux giroflées et plonger dans les chinoiseries, c’est aussi ça, le petit bonheur de pouvoir encore gambader dans les « futileries ».
L’image en titre, image c’est beaucoup dire, serait, d’après internet, mon prénom écrit en chinois.
Je suis resté admiratif devant ces tables.
Oui, j’y vois surtout des tables.
Auraient-ils détecté, qu’en bon épicurien, j’aime bien me trouver autour d’une table.
J’y devine, à gauche, une table d’aire de repos d’autoroute, ça doit être mon côté campagnard, une table basse pour l’apéro, une autre, plus sophistiquée, de cuisine équipée.
Quant au signe de la droite barrée par deux courtes parallèles, il doit évoquer mon doute. Ce n’est ni vertical, ni horizontal mais l’un et l’autre restent possibles…
Avec un rien du tout, on peut se prendre la tête, la dérision est mon carburant, je viens juste de faire quelques cabrioles de plus.
Rien de grave, tout va bien.
Le soleil est revenu et le jardin est prêt pour démarrer la saison…
Le petit plus du samedi.
Sauf qu’à mon avis les prothèses ne sont pas en bois 😉
Et ça virevolte dans tous les sens, Simonu tout en fantaisie, heureux comme un oiseau quand le printemps revient, ça fait plaisir à voir! 🙂
Quelques jambes encore…
les sautillements d’un sujet à l’autre évitent la lassitude et forcent l’admiration. Amusant ce qu’un cep raconte ! dans l’ultime image un troll semble attendre patiemment que nous ayons fini de divaguer 😀
Je suis déjà ailleurs Gibu, je viens de parcourir un cimetière imaginaire, demain, je vends mes épitaphes 😉
Une écriture à sauts et à gambades, j’aime bien faire cabrioler mes idées.
Bonne suite 🙂