Un doigt de Borloo, un !

On connaissait le lapsus linguae, le lapsus calami, depuis le 12 février 2013, nous connaissons le lapsus digitus ou lapsus Borloo.

Lors du vote « pour ou contre » la loi sur le mariage pour tous, le président de l’UDI a voté « non » alors qu’il pensait « oui ». Trop rapide ou distrait,  l’information n’a pas eu le temps de passer du cerveau au doigt. Certes, son geste maladroit était sans  conséquences puisqu’une centaine de voix séparait le « oui » du « non » mais il a tenu à le faire savoir.

La prochaine fois que vous mettrez le doigt là où il ne fallait pas, votre excuse est toute prête… ce ne sera plus la faute à Rousseau mais à Borloo.

Evitez tout de même de vous mettre le doigt dans l’œil, c’est plus embêtant que de se tromper de bouton en votant et surtout plus douloureux.

Et dire qu’ils veulent nous infliger le vote obligatoire pour tous… Nous en reparlerons…

 

Et pour embrouiller le tout, il semblerait qu’il avait donné procuration à Mathieu Deprieck.

Moralité à double sens, si c’était bien le cas : mieux vaut compter sur ses doigts que sur ceux des autres.

 

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