Obélix en vadrouille : la Gaule en ébullition.

Profitons des quelques heures qui nous restent à vivre pour déraisonner un peu. En ce moment, l’astéroïde qui nous menace doit être en route, pas trop loin à l’échelle cosmique, même si nous ne voyons rien venir encore.

Oublions le drame annoncé et jetons un regard sur notre planète encore intacte.

Obélix a quitté la France, fâché avec les gaulois. Il est parti avec ses sangliers et ses menhirs en pays outre Quiévrain. Il se demande même s’il ne devrait pas pousser jusqu’à Moscou où l’attend le druide Poutine au café de chez Pouchkine.  

Astérix Torreton  n’est plus son ami. Il est très en colère de le voir fuir avec le patrimoine de Gaule. Il aurait même évoqué monsieur Manneken-Pis dans les avions. C’est dire si sa colère est noire.

Abraracourcix  Sardou n’est pas content non plus et l’a fait savoir à tout le pays. Il n’aurait pas fait ça, lui. Quitter le bateau en pleine tempête, c’est de la pure traitrise. Il est vrai qu’il est bridé à vie par sa chanson « Le France » comment quitter le pays sans entendre chanter son pendant « La France » ? Vous imaginez, un début : « Ne me parlez plus de Sardou, Sardou m’a laissé tomber… C’est sa dernière cruauté… » Non, c’est cuit pour lui.

Mme Âgecanonix Line Renaud qui a abandonné sa cabane au Canada, ne vendrait plus son chien dans la vitrine pour une fugue dans le plat pays… et le fait savoir aussi.

Et puis tous ceux qui soutiennent Obélix ou qui s’en fichent : Bardot, Barbelivien… même Djamelix et Panoramix Lucchini conservateur des Arts et Métiers au pays du cinéma y vont de leur sympathie.

Il fut un temps où les gaulois avaient peur que le ciel leur tombe sur la tête, aujourd’hui, le calendrier Maya leur annonce l’apocalypse pour demain et c’est la guerre par Depardieu interposé. Même plus peur !

Croyez-vous que ce monde est sérieux ? Moi, je m’amuse de voir tous ces « sachant ce qu’il faut faire »  qui vivent dans le confort et donnent des leçons… Le royaume de Gaule, un temps gallo-romain est passé gallo-mondialisé. L’histoire Depardieu est bien dérisoire, faites-en de la chantilly si cela vous chante. 

Vous avez sans doute deviné, j’avais quelques minutes à tuer aussi…

J’ai hâte d’être à demain…

 

 

 

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