Dans son aéronef,
Elle conduit comme une cheffe,
M’emmène visiter les cieux.
A travers son Hubble télescope,
Toujours de mieux en mieux,
Je vois la vie en couleurs scopes .
Là-haut dans les étoiles,
Bien au-delà du septième ciel,
Je déploie la grand-voile
Vers un monde artificiel.
Je frise des airs de paradis,
Frôle des astres interdits.
Je parle même aux anges
Et tutoie les archanges.
Dans l’envol ascensionnel,
Chevauchant une étoile filante,
La lumière est aspirante.
Un irrésistible appel
Me guide vers son dix-septième ciel.
Haut perché dans l’infini
D’une autre galaxie,
Perdu au cœur de l’Univers
Je regarde le monde à l’envers…
Beau, très onirique, votre imagination vous emmène loin et on suit avec ravissement.
Pauvre archange féroce, si ce sont les bêtises du monde qu’il doit combattre, il a du boulot 😉
Ci-dessous.
Très bien écrit et subjectif ce poème
Je vais de surprise en surprise
Bon après-midi Simon 🙂
Il y a plus de 2300 textes, j’en ai supprimé quelques centaines….
Vous auriez de quoi nourrir les surprises en fouillant.
Bonne apm Gys ! 🙂
Il y a plus de 2300 textes, j’en ai supprimé quelques centaines….
Vous auriez de quoi nourrir les surprises en fouillant.
Bonne apm Gys ! 🙂
Le robot qui surveille ces commentaires est devenu fou, il me dit que je fais doublon avec ce que je raconte là.
En quoi, cela le regarde !
Il y a encore du boulot avec l’intelligence artificielle.