Je commence à patiner.
Non pas que je prenne des cours de patinage artistique, le risque serait trop grand, mais je commence à cramer, après avoir cherché à flamber…
Après 1800 textes dans ce blog, que voulez-vous que je raconte encore ?
Les redondances sont trop fréquentes et quasiment inévitables.
Je vais essayer de résister encore un peu, tant que je peux et puis, on verra bien.
Puisque vous continuez à visiter mon enclos, je partagerai, il y a tant de choses à dire.
En attendant voici quelques images du flambé, un papillon que vous rencontrez sans doute en ce moment et également nommé le voilier des prairies.





Et quel plaisir! Comment ne pas s’émerveiller devant ce que la nature nous offre d’une part et devant de si belles photos? Merci Simonu et continuez à publier même d’anciens textes, je suis loin d’avoir tout lu et vous savez combien j’apprécie 🙂
Je suis à bout de souffle Almanito.
Je songeais à rendre les armes.
Je vais préparer un texte qui va résumer mon histoire, plus long que les formats habituels, intitulé « L’espoir » et puis après, je ne sais plus.
Merci pour ces encouragements… peut- être que peut-être… 🙂
Faites une pause pendant l’été, ensuite vous verrez bien et moi je viendrai découvrir petit à petit tout ce que je n’ai pas lu.
De très nombreux textes ont été écrits en premier jet et sont donc peu recommandables.
En outre, en les reversant dans le nouveau blog, ils se installés en mauvais état et sans image(s).
Vous ne serez donc pas surprise en sachant cela… 🙂
Aucun souci 🙂
Le doute nous prend tous à différents moments de nos parcours.
Pas de certitude, le doute.
Alors, pas de décisions radicale à prendre, de divorce à prononcer, de renonciation à opérer.
Prendre au contraire le temps
Continuer à saisir les flambés et tout ce qui passe.
C’est de l’extérieur et des autres que viendront les réflexions, les évocations et les espoirs pour soi ou les autres, fils, filles, petits enfants, conjoint, amis.
S’accorder le droit de se taire et juste de prendre la main à ses côtés et de dire : « regarde ».
S’accorder aussi le droit de laisser la pensée courir sur le clavier au moment où elle surgit.
S’accorder aussi e rebondir, voire de réagir positivement ou négativement la pensée des autres.
Certes on y frôlera les incidents, les méprises et malentendus. Parfois même on blessera.
C’est le prix à payer pour la richesse et à la fois la dangerosité de l’échange.
Et puis, on ne peut pas plaire ou complaire à tous.
Enfin on cultive son jardin avec l’eau et le feu du soleil. Mais ça, tu le sais déjà.
Je crois qu’il en est de même lorsque la conversation se tarit.
Va.
C’était surtout au niveau des idées Gaëtan, j’ai l’impression de redonder.
Je te fais remarquer que je n’ai pas dit radoter 😉
Cela m’étonnerais que je renonce définitivement, je serais mort.
J’ai une idée de texte, une idée déjà évoquée qui va en surprendre plus d’un, tu sais déjà de quoi je parle. Je vais essayer d’être plus exhaustif et plus précis que dans l’évocation précédente… après j’irai la paix dans l’âme.
J’ai découvert l’écriture sur le tard, je prends plaisir comme d’autres à peindre ou à jouer à la pétanque.
Merci l’ami 🙂