Sage un jour, épicurien toujours…

Incorrigible !

Ce matin, alors que je savais que le temps était insuffisant, soixante-deux jours pour des pommes de terre primeurs, c’est trop peu… Il a fallu que je teste.

C’était jour raisonnable au déjeuner :

Des pommes nouvelles, les rondes et des jeunes du commerce en grossière frites, du sel, du poivre, de l’huile d’olive, de l’oignon en lit, de la persillade et du thym frais en fleurs.
Les primeurs étaient fondantes, savoureuses, j’ai fermé les yeux… Ah seigneur ! Quelle promesse lorsqu’elles seront à plus de soixante-dix jours !
Un triste poisson rectangulaire, poché, légèrement salé et huilé à cru… Bon, bon, c’était jour presque maigre, je viens seulement de me rendre compte que nous sommes vendredi.
Je recommencerais volontiers mais avec du poisson frais, le congelé est congelé et ce n’est pas une lapalissade, il se qualifie de tristounet tout seul… rien qu’à le regarder 🙂
Les poissons à figure géométrique c’est de la mathématique, en aucun cas souci gastronomique !

Epicurez-vous la vie, les amis.

J’ai tenu jusque là, l’avenir n’est que bonheur offert en cadeau…

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