C’est Wikipédia qui l’affirme mais ce n’est pas de sa faute, il répète comme moi, ce qu’on lui a appris.
« La Digitale pourpre ou Grande Digitale (Digitalis purpurea) est une espèce de plantes de la famille des Scrophulariaceae selon la classification classique, ou des Plantaginaceae selon la classification phylogénétique. »
Scrophulariaceae ou plantantaginaceae, amen ! Rendez-vous compte !
Si vous n’êtes un fidèle de l’évangile selon sainte Botanique vous pouvez dire une prière avant de prononcer ces noms scabreux.
Cela m’amuse et nourrit mon blog de blagues, cela suffit à mon bonheur d’homme émerveillé par la nature naturante, un concept cher à Spinoza.
La nature naturante serait le dieu créateur et la nature naturée, la création, tous les éléments d’ici bas, y compris la flore.
« C’est une grande digitale bisannuelle ou vivace, cultivée comme plante ornementale. La plante est extrêmement toxique.
Elle est appelée parfois Doigtier, Gant-de-Notre-Dame, Gant-de-bergère, Gantelée, Gantière ou Gantillier. » Poursuit Wiki.
Il y en avait partout le long du chemin, sur le versant exposé au soleil.
Voici la différence :
Je passe sur les pâquerettes, boutons d’or, asphodèle et Cie.