La mer n’est pas très loin.

En une cinquantaine de minutes, nous voilà à la mer, aux abords de Propriano.

Le temps, devenu un peu fou, est estival en plein hiver.
Un janvier sans pluie, un février qui emboîte le même pas.
Le ciel est d’un azur soutenu, les nuages sont rares.

En quittant le village de bon matin, le ciel, rougi par endroits, affichait son fond d’un bleu inhabituel.
J’ai rarement vu cette teinte, c’est pourquoi j’ai ouvert la fenêtre pour « clicher ».

A Propriano, le parcours de promenade s’étirait le long du rivage.

Un promeneur visait le ciel…
Puis se ravisait, il allait voir la mer.
A défaut de cocotiers, ces arbres encadrent le rivage et rêvent d’îles lointaines.
Sur le chemin sablonneux, mille fois foulé, deux dames devisaient en imprimant leurs pas sur les empreintes des autres… Le passage témoignait d’une trotte intensive.
Au loin, Propriano attendait notre retour.

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