En une cinquantaine de minutes, nous voilà à la mer, aux abords de Propriano.
Le temps, devenu un peu fou, est estival en plein hiver.
Un janvier sans pluie, un février qui emboîte le même pas.
Le ciel est d’un azur soutenu, les nuages sont rares.
En quittant le village de bon matin, le ciel, rougi par endroits, affichait son fond d’un bleu inhabituel.
J’ai rarement vu cette teinte, c’est pourquoi j’ai ouvert la fenêtre pour « clicher ».
A Propriano, le parcours de promenade s’étirait le long du rivage.