L’endroit est bucolique, idyllique, paradisiaque, propice au rêve.
C’est un lieu qui engendre le paradoxe.
Est-il besoin de rêver lorsqu’on se trouve dans une verdure de rêve ?
Ici, imaginaire et réalité se superposent, se fondent et se confondent.
Là, on ne rêve plus, on hume, on sent, on goûte… on vit.
On touche aussi.
On écoute les oiseaux, le geai rageur et le merle qui siffle.
La cerise, la pêche, la pomme et le raisin animent les saisons.
L’air frais monte de la vallée, le soir est paisible et allume ses étoiles.
La lune flâne, les grillons grésillent, crissent, crépitent ou stridulent.
Eole caresse les visages, les tifs oscillent à son passage.
Les grenouilles coassent. Leur concert qui monte des bassins anime le silence, du crépuscule jusqu’au milieu de la nuit.
On dirait qu’un maestro a donné le « la » à la symphonie nocturne qui s’étire en une longue sérénade…
La paix est divine, la douceur nous berce dans un long voyage tranquille jusqu’au paradis derrière les galaxies.
Quel est ce monde mystérieux où s’envolent les âmes ?
Belles images pour la fête de toutes les mamans, qu’elles soient là où qu’elles se soient envolées dans un paradis aussi doux que celui que vous montrez 🙂
🙂
Bel endroit un peu sauvage 😉
Sauvage comme moi 😉
Oui, cet endroit est un peu retiré du monde mais il y règne une mystérieuse atmosphère, on se sent ailleurs à l’abri du brouhaha civilisé 🙂
Bonne soirée Gys.