Polygale commun.

Polygala vulgaris.

Mon intention était purement esthétique, isoler la plante des autres fleurs en utilisant une grande ouverture de diaphragme pour limiter la profondeur de champ. (Zone de netteté réduite, floutant l’avant comme l’arrière plan).


Dans le cimetière de Levie, couché dans les herbes hautes à risquer la maladie de Lyme transmise par les tiques.

Extraits de la page « Fleurs des champs » (internet) :

 » On a cru longtemps que le Polygala (du grec polus, « beaucoup » et gala « lait ») favorisait la sécrétion lactée des vaches des chèvres et des nourrices. Depuis, on s’est rendu compte que cette action galactologue était des plus incertaines.« 

« Plante herbacée de 10 à 15 cm à racine grêle, dont la partie inférieure de la tige rampe sur le sol.
Feuilles simples et alternes, lancéolées, pointues.
Petites fleurs bleues de 5 à 8 mm, rarement rosées, en grappe peu fournie.
5 sépales inégaux dont 3 petits et 2 grands en forme d’ailes.
3 pétales inégaux dont l’inférieur est en carène découpé en lanières à son extrémité et les latéraux courbés en capuchon.
8 étamines à filet soudé avec les pétales, un style.
Le fruit rappelle une silicule aplatie bordée d’une aile.
Le polygala vulgaris ne peut germer qu’à la lumière
. »

Images prises à main levée, ce qui explique certains flous, avec un objectif macro.

Le petit plus du jour : Argument « contondant ».

C’est qu’il serait passé sans me voir le bougre !
Je l’aurais assommé !

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