Mais qui donc est-il ?

Gaëtan, que vous rencontrez dans les souterrains des commentaires assez régulièrement est un ami de toile.
Une toile solide.

Un ami rencontré grâce à internet, d’abord en écrivant des chroniques dans lemonde.fr puis en fréquentant les blogs stationnés sur le même journal numérique.
Un jour nous fûmes tous priés de déguerpir et cela fut commandé de façon peu élégante sans aucune explication, sans doute une charge peu rentable… Passons, passons…

Alors, qui est-il ?

Voici, en quelques images, son histoire condensée.

Ses parents René et Charlotte avant le mariage.
Crépy-en-Valois, toute son enfance.
Son métier, formateur de formateurs.
Devinez donc qui est Véronique !

Et puis un jour de juin 2016, Gaëtan retournait en Corse, il l’avait déjà visitée avec ses parents durant son enfance, pour faire découvrir notre île à son fils.
Il a souhaité me rencontrer, ce fut fait sous le tilleul de la place de l’église – A Piazzona – non pour rendre la justice mais pour sceller une amitié.
Nous nous sommes revus au même endroit l’année suivante et si d’aventure Gaëtan repassait par là, c’est avec grand plaisir que je l’accueillerai de nouveau.

Images fournies par Gaëtan.

Alors, cher ami, tu sais ce qu’il te reste à faire 🙂

PS. Gaëtan parcourt la Vendée et ses environs, dépasse parfois largement ces frontières, à la chasse aux images. Souvent des paysages, urbains ou ruraux, il a le sens de l’esthétique, l’œil du photographe. Il n’aime pas trop que je relève le côté « photo belle à regarder ». Il a souvent un message à faire passer, à travers des clichés témoignages.
Je suis plutôt campagnard soucieux de vivre dans le bucolique bien plus que désolé de ce qui nous tombe sur la tête.

Hum, je l’imagine me faisant les gros yeux.

Ah, Ce Gaëtan, il est incorrigible !

Histoire de l’image en titre : J’étais avec Gaëtan, des allemands s’étonnaient de la circonférence du pin. Pour immortaliser leur étonnement je leur avais demandé de se donner la main pour « étreindre » le résineux. La dame s’était postée derrière le tronc et attendait, sans rien voir, la sortie du petit oiseau à travers l’objectif. J’ai tenté de lui suggérer de faire coucou, d’apparaitre, rien à faire, tout le monde riait et elle aussi. On ne s’imagine pas tout ce que recèle un simple cliché.

7 Comments

  1. Excellente anecdote, les stephanocoques scellent une amitié pour toujours, c’est bien connu 😉

  2. Pas de gros yeux.
    Ces images sont là pour te témoigner quelques pans de notre sensibilité commune : des proches, des lieux, des activités professionnelles et civiques à la fois.
    Bien à toi.

  3. 🙂

    Bizarre bizarre, j’ai envoyé le sourire seul, il a été refusé :
    « Déjà envoyé, il fait doublon » disait le robot.
    Il n’avait pas vu que ce n’était pas la même personne, alors j’ai bavardé pour faire diversion et ça passe.
    Que dieu bénisse les blogs ! 🙂

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