Direction Zoza.

De retour d’Aullène, plongeons vers la partie basse, direction Sainte Lucie de Tallano qui était le point de départ à notre périple en Alta Rocca.

Sur le chemin.
On voit Saint Andria.
Le clocher de Zoza à travers châtaigniers.
Vue sur Tallano.
Comme le furet, Stéphane le sculpteur est repassé par ici.
Tire-moi l’oreille et l’eau sera…
Une vue d’Altagène.
Puis une autre…
Olmiccia en contrebas.
Les trois clochers.
Si vous voyez le troisième, vous avez bonne vue.
Saint André, le couvent et l’église de Tallano.
Tallano.
On peut voir le clocher que l’on cherchait plus haut.
Saint André et le couvent de Tallà.
Sur le passage…
Et si vous avez le vertige, le clocher de Zoza vous donnera la berlue.

Oui, oui, on va me reprocher d’avoir oublié le barrage EDF. C’est un choix.

Retour sur Lévie et direction Carbini…

2 Comments

  1. Peut-on ici en profiter pour rappeler rappeler ces deux expressions :
     la première : « Zoza di mala furtuna, d’inguernu mai soli, d’istati mai luna. » 
    que je traduis par : « Zoza infortuné (village). Jamais de soleil en hiver et pas de lune en été ».
    Cela fait référence à la situation géographique.
    La seconde :« Zoza, Conca e Lecci, l’ultimi paesi chì Diu feci. »
    que l’on peut traduire par : »Zoza, Conca et Lecci, sont les derniers villages créés par Dieu ».
    A mon avis, deux acceptions pour cette formule : pour les habitants de ces villages, Dieu a mis toute son savoir faire pour qu’il soient les plus beaux, l’autre qui prévaut pour nous autres : Dieu était tellement fatigué à la fin de son périple qu’il a créé ces trois villages n’importe comment et n’importe où (voir la 1ére expression).
    A bientôt.

  2. Ah ! Ce dieu, il en a fait de belles !
    Je ne savais pas qu’il était sujet à la fatigue… 😉
    JP, surveille tes mails :-).
    Merci l’ami, à bientôt.

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