U Sfritzu.

Le principe est le même que le spritz italien.

Il s’agit d’une adaptation nustrale (De chez nous, locale, du pays) en changeant les ingrédients et le nom du cocktail.

C’est en le composant que j’ai pensé à cette nouvelle dénomination pour faire plus musical. En versant le muscat pétillant sur la glace j’entendais sfriiii, l’ensemble moussait et les bulles éclataient par centaines en produisant une douce musiquette de friture légère.

Et voilà, U Sfritzu est né un soir d’été en Aratasca sous la Zinella. Sans doute existe-t-il déjà quelque part dans l’île, mais comme je ne sais pas, je le baptise ainsi, la marque est déposée, estampillée Sfritzu Zinella.

Voici sa composition : Trois à quatre gros glaçons dans un grand verre, une bonne dose de Cap Corse blanc et terminer de remplir le verre avec du muscat pétillant. N’oubliez pas le citron vert (Le Pulco peut faire l’affaire) et une olive verte si vous voulez, juste pour le standing, pour faire un peu cabaret.

Faut-il signaler « Avec modération » ?
Oui, car à partir du troisième on commencera à demander : « Dami un antru sfrizzu !»  (Donne-moi un autre sfrizzu) et cette dernière appellation sera sans doute adoptée par facilité comme u pastizzu…

Alors Sfritzu ou Sfrizzu, c’est comme vous voulez.

Tchin tchin ! Saluta !

Santé ! Hum, gaité plutôt, pour la santé on verra plus tard…

2 Comments

  1. Attention, dès qu’on passe au Sfrizzu,(et non plus sfritzu) on est déjà dans les jardins de l’Eden… ;- )

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