« I pristaticci » semblent d’actualité cette année.
Avril prête à mars deux ou trois jours de froid, il a neigeouillé cette nuit sur Levie.
Malgré ce temps frisquet qui sévit chez nous comme ailleurs et peut-être plus ailleurs que chez nous, un sourire printanier est parvenu jusqu’à moi.
Chat Voyageur, aujourd’hui réduit au nom de Chat, qui suit ces pages depuis belle lurette, m’a envoyé une fleur de sa Normandie que j’imagine natale sans en être certain.
J’ai eu l’impression de recevoir un cadeau, ce fut une attention touchante qui me parvint au cœur.
L’académicien Erik Orsenna m’écrivait :
« Vous nous transportez au cœur de ce village, donc au cœur de la Corse. Cœur le mot tant vif, attentif, fraternel est votre regard…«
Le palpitant est donc omniprésent et continue à battre de toutes ses systoles, normales ou extras, puis se relâche en diastoles reposantes.
Même dans un ouvrage à la simplicité villageoise, toute rurale, on peut faire allusion à la cardiologie… émotive.
Cher Chat, qui n’osez écrire votre nom au féminin car je sais que vous êtes une fille, cher iel donc, je vous remercie pour votre touchante attention.
Je ne suis jamais allé à Cabourg, l’ouvrage l’a fait pour moi dans un presque « chabadabada » à quelques vingt-cinq kilomètres de Deauville.
Vive la Normandie, un tchintchin au Calva !
Sans modération ?
Par ces temps brouillons et déchirés, on s’en fiche !
Merci Chat.
Hélas ça ne neigeouille même pas ici alors que j’attends cela depuis 4 ans ! Par contre je confirme qu’il fait froid ! Allez ça ne va pas durer 🙂
Mes semis sont en train de rendre l’âme.
Année ratée, il ne me restera rien, ce sera pépinière ou rien du tout, trop tard pour tout recommencer…
Mais non, vous disiez cela l’année dernière et finalement le jardin a été magnifique !
Là, ce n’est pas le jardin mais les plantules en nourrice qui capotent.
Ils sont beaucoup plus fragiles que les plants déjà en terre.
Merci Simonu.
🙂