Pas de neige sur les aiguilles de Bavella.
Pas une goutte d’eau.
Les ruisseaux sont presque à sec…









Par monts et par vaux, ici et maintenant mais naguère souvent aussi.
Pas de neige sur les aiguilles de Bavella.
Pas une goutte d’eau.
Les ruisseaux sont presque à sec…
Et elle est perdue cette eau ? Où va t-elle ensuite ?
Belles images avec de jolies couleurs en tout cas 🙂
Il y a des jardins en contrebas.
Belles images réunissant mère nature et inquiétudes humaines.
Voici encore quelques années, même conscients des errements des hommes, on contemplait sans trop d’inquiétude des beautés que l’on ressentait immuables.
Serait-ce une forme pathologique de la mélancolie dépressive ? Désormais l’inquiétude est comme palpable jusque face aux sites les plus apaisants d’ordinaire.
Sur l’Ile et jusqu’à ses hauteurs, c’est notamment le manque d’eau qui sourd de partout, oh paradoxe. Dans ma bourgade ce sont l’océan vengeur de l’avidité à courte vue des hommes qui troublent les spectacles jusqu’alors bons enfants.
Il est rare de ne pas voir de neige sur les sommets, à cette période.
Peut-être neigera-t-il en mars ou avril, c’est déjà arrivé…
Belles images. Je vais regarder dans mes photos mais il me semble être passé par là
Il s’agit du village de Quenza.