Voyage, voyage… au-dessus des nuages…
Il y a fort longtemps que Jeanine a fugué au pays des polders.
Elle a quitté son quartier Navaggia pour fonder famille batave.
Un 24 décembre souriant, imaginé par ses enfants devant l’arbre de Noël.
La surprise, d’abord, suivie d’une joie non contenue, me dirent-ils.
Son sourire fait plaisir à voir,
tenant dans ses mains une bonne partie de son histoire.
Je suis heureux pour elle de lui avoir tendu ces souvenirs d’enfance.
Je me suis imaginé un Noël magique, un livre exposé contre un moulin à vent, devant un champ de tulipes
ou plus prosaïquement adossé à un gouda ou une mimolette, pourquoi pas ?
Merci les amis pour ce clin d’œil natal si loin du village, natal aussi, de Jeanine.
A l’année prochaine, tout près de la fontaine de Carianonu, si proche de votre maison,
qui figure en début d’ouvrage… Hélas en N&B.
Je viens d’acquérir ton livre que j’ai lu avec empressement. Je n’ai qu’un commentaire à faire « le plaisir de retomber en enfance dans mon village natal ». Merci Simon pour cet agréable moment que je viens de passer. Je m’y replongerai avec délice chaque fois que la nostalgie du passé sera là.
Cher Antoine, cela me fait plaisir de savoir que des souvenirs sont remontés à la surface.
J’ai eu des retours similaires.
Il ne me reste plus qu’à songer à une suite car, on n’y trouve que la moitié du témoignage.
Bonne fin d’année à vos deux.
Basgi 🙂