Par les petits chemins du village.

L’heure n’était pas très favorable à la photo, à cause de la luminosité trop crue de midi et cette déambulation n’était pas l’objectif premier, je ne visais pas la chasse aux images.
Comme j’ai toujours mon petit ami en poche, je n’ai pu résister aux clics qui me démangeaient.

Voici ma petite récolte :

En sortant de la Navaggia à quelques mètres du presbytère invisible sur l’image.
L’ancienne gendarmerie, limite du quartier.
L’érable me fait signe…
J’ai grandi avec lui.
Direction Ulmiccia, un autre quartier de mon enfance, du temps de la « Tantina des Burgos »
Je vais rebloguer le texte, immanquable pour les lévianais.
La fin de l’Insorito, au loin, à gauche.
Derrière les broussailles.
Le noyer prépare sa floraison de chatons (inflorescences pendantes).
Tout près du Casino, il est en face de la barrière.
Juste derrière moi.
Beaucoup plus loin, au pont du Paradiseddu (petit paradis) le saule prépare sa coupe mulet qui revient à la mode en ce moment.
Même les saules pleureurs sont au courant de l’actualité.
Inutile de pleurnicher, alors !

6 Comments

    1. C’est une partie, nous sommes à la campagne.
      Il y a des coins plus jolis, là c’était un passage obligé, je n’ai pas choisi.
      Merci, bonne soirée.

    1. On déménageait souvent et j’allais de parents à grand-parents et tante qui habitaient des endroits différents.
      Bonne suite Al.

  1. Une luminosité pas si blafarde, avec ce beau ciel d’un bleu franc ! c’est vrai que dans le Sud c’est difficile d’avoir le bon éclairage quand il fait trop soleil ! (Jamais contents ces pinzuti auraient dit les zhiboux)

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