Simonu, u stazzunaghju. (Le forgeron)

Ce texte était le dernier d’une série consacrée aux artisans de naguère. Avec le temps printanier du moment, j’entends encore le tintement de son marteau sur l’enclume lorsqu’il ouvrait grand les portes de sa forge pour adresser sa musique aux quartiers environnants… Voilà le pourquoi ce reblog.

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