Serra di Scopamèna.

Ma rencontre avec Serra fut magique.
Je me suis attardé sur le côté mystérieux plus que sur les bâtiments.

Voici quelques images, laissez-vous emporter.

Son clocher original.
Son lavoir j’imagine.
Et puis, un peu de magie.
Une trilogie improbable. Volets clos pour laisser les violettes s’épanouir. Une rencontre dans un coin obscur et désert, j’aurais pu passer sans rien voir.
Un superbe bouquet né dans une fissure infime.
D’autres volets clos abritent un marquis lubrique… allez savoir lequel !
Mère-grand, là derrière ?
Tire la chevillette et la bobinette cherra !
Jachère…
Le fil de l’eau.
Coin ! Coin !
Dinette ?
Cinq vases sinon rien !
Catastrophe ! Rideau !

J’ai bien aimé la magie serra-di-scopaménaise, aurait dit mon cousin Bona lorsqu’il dansait le cha cha cha di Serra di Scopamèna ! C’étaient les bals de naguère, la folie était de mise, la belle et bonne, folie douce !

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