Les papavéracées cocoricotent dans les champs.
L’interrogation en titre ne désigne point un ras l’bol des pimpants coquelicots mais un questionnement pour savoir si vous en avez assez comme ça, avec ce nouveau regard un peu décalé que j’ai voulu vous adresser.
Voyez donc…
O rage, ô désespoir… si vous arrêtiez vos billets… décalés, pas décalés…
Photos superbes.
Je parlais des coquelicots, ce n’est pas si clair que ça en effet, et figurez-vous que j’y songeais depuis deux ou trois jours.
Et puis non, une trop grande part de moi s’en irai 😉
Bonne journée Chat qui vadrouille 🙂
Non ! Papavéra jamais assez de vos pages 🙂
J’adore toujours la gitane et étonnées comme… Les lapins d’Alphonse 😉
Comme je suis moins sur le terrain, il y a des images déjà vues.
Quand tout sera plus calme, je reprendrai mes déambulations.
Bonne journée Al 🙂
J’ai descendu dans mon jardin (bis)
Pour y cueillir du romarin.
Gentil coq’licot, Mesdames.
Gentil coq’licot nouveau.
Alors pas tous nouveaux …. mais toutes, très belles photos. Leur rouge est un coup de peps de l’oeil au cerveau et leur fine fragilité, un bel hymne à l’éphémère. La photo pour le rêve est splendide.
Et pour Assez ? Quelle idée !!! Il faudrait votre source tarie pour que nous comprenions une telle décision. Comment pouvoir être poète, artiste, un jour et pas toujours ?
Bon, il est vrai que même les poètes ont besoin parfois de congés mais pour revenir plus foisonnant encore à vos lecteurs.
M. Simonu : que direz vos Hiboux de cette idée saugrenue … Assez !!!
Avec vous, Sylvie, je n’ai aucune porte de sortie.
Les hiboux sont absents ou, plutôt, je les ai un peu oubliés, je vais essayer d’écouter s’ils bouboulent encore 🙂